Masterchef saison 3 - toutes les infos

Closer

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Masterchef : combien de kilos a pris le jury pendant le tournage ?
Qui a grossi ?


Goûter des plats toute la journée, c’est bien, mais ce n’est pas très bon pour la ligne. La preuve avec les membres du jury de Masterchef.

Pour la troisième année consécutive, les chefs Frédéric Anton et Yves Camdeborde et le critique Sébastien Demorand sont partis à la recherche du meilleur cuisinier amateur de France. Pendant des jours entiers, ils ont goûté des plats, fini les assiettes et ont probablement saucé quelques-uns d’entre eux. Difficile de s’arrêter quand c’est vraiment bon. C’est sûr, les membres du jury ont un bon coup de fourchette.

Alors est-ce qu’ils ne l’ont pas trop ressenti sur la balance ? Nos confrères de Télé-Loisirs.fr sont allés leur poser la question. Yves Camdeborde est plutôt fier de lui : « J’ai fait attention, je n’ai pris que trois kilos. J’ai été très modéré cette année. » On ne peut pas en dire autant de Frédéric Anton. Le chef 3 étoiles du Pré Catelan en a pris deux fois plus : « 6,8 kilos, on va dire cette année, donc je suis en baisse par rapport aux autres années. »

Quant au très sec Nicolas Demorand, il refuse tout simplement de répondre à cette question : « Les kilos, les kilos, les kilos, répète-t-il. La question à laquelle je refuse chaque année de répondre, c’est celle-là. » Coquet va !

Voici.fr

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LeParisien

Masterchef 3 : Martine et Jérémy éliminés, grands chefs et coup de théâtre


La semaine dernière, TF1 lançait la saison 3 de Masterchef. Si le programme culinaire de la chaîne a connu un petit démarrage, on imagine que nos 19 cuisiniers amateurs sélectionnés pour intégrer l'atelier réussiront à captiver de nouveaux aficionados. Ce soir, jeudi 30 août, les 19 meilleurs cuisiniers amateurs de France entreront dans le célèbre atelier Masterchef. Attention, plus d'une surprise les attend...
Durant dix semaines de compétition, nos meilleurs cuisiniers amateurs n'auront qu'une obsession : devenir Masterchef 2012. Au cours de ce second épisode, les jurés Sébastien Demorand, Yves Camdeborde et Frédéric Anton décideront qui ne mérite plus sa place au sein du concours. Surprises, avertissements et éliminations sont de mise...


Des pâtes ? Oui, mais avec imagination !
"Mettez-vous à nu dans vos assiettes", c'est le conseil de Sébastien Demorand pour démarrer cette aventure au sein de l'atelier Masterchef. C'est l'heure de la boîte mystère. Les candidats trouvent un laminoir, un appareil pour fabriquer des pâtes. Si Simon semble plutôt confiant, la plupart de nos cuisiniers sont très inquiets. Pour Frédéric Anton, la recette des pâtes est d'une grande simplicité. Mais Demorand les met en garde : "De la simplicité peut naître parfois une très grande assiette." Il s'agit d'une épreuve mettant en avant la justesse et l'imagination.


Le moins bon de cette épreuve se retrouvera soumis au test sous pression, le meilleur, quant à lui, pourra assister à cours de cuisine avec Frédéric Anton.


Les candidats se lancent dans l'épicerie. Si certains ont déjà toute leur recette bien en tête, d'autres sont perturbés par le (trop ?) large choix d'ingrédients. L'élément principal de cette recette, c'est la préparation de la pâte. D'origine italienne, Jérémy est très emballé par cette épreuve. Le futur papa - son épouse est enceinte - se sent très à l'aise sur cette étape ! Martine est en admiration devant Simon qui gère parfaitement la fabrication de la pâte. Annelise impressionne les jurés et a même le droit à un commis d'exception : Frédéric Anton. "Elle nous a séchés", confie Yves Camdeborde quand la jeune femme leur confie sa recette. Hasnaa est également rassurée par les remarques des jurés. Ludovic est comme toujours sûr de lui lors de la conception de ses tagliatelles au ris de veau. Demorand confie que les pâtes sont son plat préféré. Jérémy est déçu il n'a pas eu le temps de faire ce qu'il voulait.


Hasnaa est la première à passer, le jury semble conquis. Le ton est donné ! Les plats de Joëlle et Simon les séduisent aussi. Celui de Julie fait l'unanimité sur le goût. "Super goût", confie Frédéric Anton. "Coup d'essai, quasi coup de maître", ajoute-t-il lorsqu'il découvre que c'est une grande première pour la candidate. Le plat de Martine est plus critiqué. Les jurés trouvent qu'il y a plus d'herbes qu'autre chose, de plus, la raviole n'est pas cuite. Camdeborde, pourtant amateur de poivre, trouve qu'il y en a vraiment beaucoup trop. Si l'élégance de l'assiette est indéniable, le plat est loupé. "J'ai la bouche en feu", lance Anton. Le plat de Ludovic a beau être très bon, Demorand trouve que cela ne correspond pas au sujet, les pâtes n'étant pas centrales. Ils adorent le plat d'Annelise. Elle n'en revient pas !


Les jurés appellent Annelise et Hasnaa, leurs deux coups de coeur. Deuxième fois pour Annelise ! Les deux candidates remportent un cours magistral avec le chef Anton. Qui est le candidat qui les a le plus déçus ? C'est Thomas qui hérite du tablier noir. Il sera le premier à inaugurer le test sous pression.


Le piège de la tarte aux poires amandine
Pour cette nouvelle épreuve, l'atelier se transforme en pâtisserie. Les candidats vont devoir reconnaître 15 grandes et délicieuses pâtisseries en trois minutes. A la moindre erreur, le candidat rejoindra Thomas pour le test sous pression mais pourra être remplacé par un candidat suivant si ce dernier trouve moins de réponses. Simon est le premier à passer, il trouve 9 réponses sur 15. Un bon score ! Laurent n'a trouvé que deux pâtisseries et rejoint donc Thomas. Un candidat fera-t-il pire ?


Si de nombreux candidats chutent sur la pâtisserie numéro 6, la tarte bourdalou, personne ne fait pire que Laurent. Sabine fait le meilleur score avec 11 pâtisseries sur 15. Annelise et Pierre font finalement le même score. Mais alors que Laurent pense qu'il est fini, étant sûr de Ludovic, voilà que ce dernier fait la même erreur que lui et ne trouve donc qu'une pâtisserie. Thomas sait désormais qu'il se retrouve face à Ludovic, celui qui semble être le meilleur candidat de cette édition. "C'est le tabouret de la honte, on se sent con", confie Ludovic. Martine est la dernière chance de Thomas. Martine rejoint Thomas et Ludovic. Thomas est ravi : "Plus il y a de choix, plus je peux tirer mon épingle du jeu."


Un boeuf bourguignon sans boeuf ?
Premier test sous pression... Ludovic, Thomas et Martine savent que l'un d'entre eux sera éliminé à l'issue de cette épreuve. Nos trois candidats vont devoir réaliser un plat inédit avec les ingrédients du célèbre boeuf bourguignon. Surprise du chef, Frédéric Anton leur dévoile trois calamars. Thomas n'aime pas ça. Ludovic est perdu il ne voit pas le rapport entre les ingrédient du bourguignon avec le calamar. Demorand leur assure que cela n'a pas été choisi au hasard et qu'ils savent naturellement déjà ce qu'ils pourront cuisiner. "C'est tellement insolite, bourguignon calamar", confie Ludovic. Ils finissent malgré tout tous par s'en sortir.


Ludovic est sauvé, il a conquis les chefs par une préparation très cuisinée. "On dirait qu'on m'a aspiré le sang, j'étais vidé d'un coup", confie soulagé le candidat. Thomas est sauvé, Martine, elle, est éliminée de l'aventure Masterchef. Elle reçoit malgré tout de beaux compliments.


Asperges et Pont du Gard
Carole annonce une nouvelle épreuve en équipe et en extérieur. Les candidats doivent se mettre en file indienne. La première étant Annelise, elle devient chef de son équipe rouge composée des cinq personnes derrière elle. Pour la deuxième équipe, la bleue, c'est Julie qui dirigera les cinq personnes suivantes. Enfin, Joëlle a le droit au jaune "couleur de l'infidélité", comme le rappelle Carole avec humour. L'équipe la moins bonne sur l'épreuve sera soumise au test sous pression. Le moins bon candidat sera alors éliminé.


Le jury a choisi le pont du Gard pour les 18 candidats encore en lice. Ils sont tous plus déterminés que jamais pour cette épreuve incroyable. Ludovic est très ému : "C'est Hollywood, quoi !" Nos cuisiniers vont devoir reproduire une entrée et un plat créés par un grand chef, Jérôme Nutile, un Meilleur Ouvrier de France, et travailler des produits AOC tout en mettant en valeur l'asperge. Les invités sont les producteurs. Ils vont cuisiner pour eux. En 1h30, ils doivent reproduire cette entrée et ce plat pour 12 personnes soit 24 assiettes. Les chefs d'équipe, Joëlle, Annelise et Julie, vont découvrir ces plats et vont devoir être les yeux de leur groupe. Elles n'auront pas de recette et devront simplement mémoriser les plats pour en parler à leur équipe. L'entrée est un tube d'asperges, le plat, un filet de taureau.


Annelise a très bien cerné les plats. Joëlle est également bien comprise par son équipe. Philippe est ravi d'entendre des compliments sortir de la bouche d'un meilleur ouvrier de France. L'équipe d'Annelise semble bien partie. Du côté de l'équipe rouge, l'équipe de Julie, c'est le drame. Olivier décortiquait les écrevisses mais le chef Nutile lui annonce qu'il faut les laisser cuire avec la carapace. L'équipe de Joëlle, la jaune, s'en sort plutôt pas mal également. Jérémy ne se plaint pas malgré la tâche ingrate dont il est responsable et épluche pas moins de 100 asperges. Le temps passe, la panique commence à pointer le bout de son nez.


Les entrées et plats sont prêts. Le plat de l'équipe bleue déplaît. la viande n'est pas assez cuite. Seul Camdeborde a aimé, il a eu une viande bien cuite. Mais seuls les invités votent. C'est au tour de l'équipe jaune de Joëlle. Les producteurs sont unanimes, l'entrée est bien présentée et la sauce est très bonne. L'équipe jaune connaît également des soucis de cuisson. Tous les invités sont malgré tout d'accord pour dire que le niveau est très élevé. C'est l'heure du vote.


Coup de théâtre...
Le verdict. Pour Ludovic il est sûr qu'il va finir en test sous pression. Sa chef d'équipe Julie espère vraiment le contraire. Demorand leur transmet à tous les reproches des producteurs quant à la cuisson des asperges. Coup de théâtre, il n'y a que deux couleurs dans l'urne. Une équipe n'a donc reçu aucun vote. C'est un coup dur. C'est l'équipe bleue d'Annelise qui se rend en test sous pression. "Je suis l'ombre de moi-même, si quelqu'un me parle je fonds en larmes", confie Annelise. "Le verdict est sévère et sans appel", confie Demorand. Pierre est très déçu car la viande était bleue et c'est lui qui s'occupait de la cuisson.


Une histoire de caviar
Test sous pression... Hasnaa, Annelise, Jérémy, Pierre, Laurent et Cédric sont soumis au test sous pression. La chef Rougui Dia, chef du restaurant Petrossian à Paris, est de la partie. Chef de la plus prestigieuse des épiceries en France, elle est très respectée. Les candidats vont devoir travailler la fleur de caviar. Ils vont devoir reproduire à l'identique la recette du chef : Un saint-pierre à la fleur de caviar.


Nos cuisiniers se jettent sur leurs fourneaux. La chef Rougui Dia est impressionnée par la concentration des candidats. Ils sont tous stressés. Pierre a mélangé les échalotes et les champignons, une erreur. Jérémy, lui, n'est pas content de sa panure. Il ne reste pourtant que deux minutes, il est l'heure de dresser. Le jury et le chef Rougui Dia vont goûter les assiettes dans le restaurant Masterchef. Pierre ne s'en sort pas trop mal sur le filet mais la sauce n'est pas appréciée par Sébastien Demorand. Jérémy n'est pas en forme lorsqu'il amène son assiette. C'est au tour d'Annelise. La pression redescend enfin pour la jeune femme. Rougui Dia apprécie la cuisson tout comme l'ensemble des chefs. Elle fait l'unanimité. Puis c'est au tour d'Hasnaa. Anton trouve que c'est l'assiette la plus élégante. Rougui Dia ne peut s'empêcher dr remarquer une très bonne cuisson du Saint-Pierre.


Le jury a eu deux coups de coeur : Hasnaa et Annelise. Hasnaa n'en revient pas ! "C'est un beau cadeau qu'on vient de me faire, c'est apprendre à croire en moi", confie Hasnaa. Pierre les rejoint suivi de Cédric. Qui de Laurent ou de Jérémy quittera l'aventure Masterchef ? C'est finalement Jérémy qui est éliminé.


Purepeople

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Closer

Depuis le début de l'aventure Masterchef, on a vu le jury plutôt calme et même épaté par le niveau des candidats de cette troisième édition. On se souvient encore des mines étonnées de Sébastien Demorand et Yves Camdeborde, découvrant la technique d'Annelyse pour faire une pâte à ravioles parfaite. Mais le troisième épisode diffusé jeudi soir sur TF1 a été une occasion de découvrir que, si la compétition est hardue pour les candidats, elle est aussi pleine d'exigence du point de vue des jurés.

Frédéric Anton a ainsi poussé son premier vrai coup de gueule depuis le début de Masterchef 3 et celui qui en a fait les frais, c'est le pauvre Sébastien. Il faut dire que les consignes avaient pourtant été claires : la langue de veau que les candidats devaient cuisiner pendant l'épreuve de la boîte mystère devait être mise en cuisson immédiatement, avant d'être pelée puis découpée. On imagine alors la stupeur des jurés lorsqu'ils ont découvert que Sébastien avait préféré n'en faire un peu qu'à sa tête, découpant sa langue de veau en petits morceaux pour la braiser. Pour Frédéric Anton, c'en était trop : "vous n'écoutez pas ce qu'on vous dit ? Je vous ai bien expliqué qu'on la cuisait entière et qu'après la cuisson on enlevait la gorge et on l'épluchait. Vous pensez que ça se fait comme ça ? La cuisine, c'est aussi écouter. On vous dit quelque chose, on vous explique quelque chose, mais si vous faites complètement l'opposé, ça ne sert à rien. C'est que vous n'avez pas envie d'apprendre". Un reproche bien envoyé par Frédéric Anton qui a mis un bon coup de pression sur Sébastien.

MYTF1

Ah ah !!!

Encore un qui va apprendre a ses dépends que le gout du chef

est le plus souvent supérieur au travail bien fait !

Ludovic Dumont, candidat actuellement en lice à Masterchef sur TF1

« Vous allez entendre parler de moi... »




Certains le trouvent prétentieux ? C'est pourtant un regard bienveillant que l'on rencontre derrière une paire de lunettes rectangulaires.

Déterminé, Ludovic Dumont, Saint-Polois en lice à l'émission culinaire de TF1 Masterchef, se donne simplement les moyens de ses ambitions. A 35 ans, il sait ce qu'il veut : cuisiner.


Avant tout, aimez-vous la tarte Bourdaloue ?
C'était le piège de l'émission ! La pointe des poires était tournée vers l'intérieur de la tarte, pour un effet « pomme ». Ludo ou pas Ludo, je suis tombé dedans. C'était une tarte maquillée !


Comment se passent vos soirées du jeudi ?
Hier, les voisins étaient là, on a regardé l'émission ensemble. Entre candidats, on s'envoie des messages pendant la diffusion, on rigole de ce qu'on voit : le retour est différent de ce qui s'est réellement passé.


Comment vous trouvez-vous dans l'émission ?
Je ne suis pas trop satisfait. Ils me présentent comme quelqu'un de sûr de lui, de prétentieux. Je ne suis pas comme ça. J'ai juste envie de gagner, de foncer et de me dépasser pour arriver au but. Ça dérange certaines personnes. La première émission, j'étais à fond, je suis passé pour un bourrin, une machine de guerre. Ludo, on l'aime ou on l'aime pas. Et moi ça me va.


On vous a vu un peu bougon lors d'une épreuve au pont du Gard ... Il faut savoir que lors de cette épreuve en extérieur, toutes les équipes se sont pris le chou, mais on n'a montré que moi ! Je n'aime pas le désordre. Dans une cuisine, on se doit d'être méthodique et tout doit être rangé. C'était le foutoir et cette désorganisation m'a mis en colère.


Pourquoi participer à Masterchef ?
A 35 ans, je me voyais mal refaire des études, une formation. Je faisais de la cuisine en loisir tout en participant à des concours : je suis arrivé finaliste au championnat de France de cuisine amateur. Pendant ces concours, je me suis fait remarquer par de grands chefs comme Guy Martin. Il m'a dit qu'il était temps de penser à changer de métier car j'avais un don, de l'or dans les doigts, et qu'il fallait que je l'utilise rapidement. Je ne m'en étais pas rendu compte. Masterchef, j'y suis allé un peu au pif. J'étais devant mon ordinateur, je me suis inscrit au casting, deux jours après, on m'appelait.


Comment se passent les sélections ?
Au départ, il y a 24 000 candidats. Il y a d'abord eu une présélection sur recette avant une première épreuve à Lille où j'ai présenté un plat froid : carpaccio de saint-Jacques, crème coco, mayonnaise d'avocat, pomme granny smith et concombre mariné au mirin. C'était simple et frais. Une fois cette sélection réussie, il a fallu proposer un plat chaud pour les deux chefs et Sébastien Demorand. J'ai préparé un cabillaud basse température, crème de cresson au riesling, légumes confits et tuiles aux pommes de terre et aux algues. C'est suite à cela que les 100 candidats accèdent à la grande cuisine.


Comment s'est déroulé le tournage, qui a eu lieu au printemps ?
Masterchef, c'est une machine à émotion. On passe par tous les états : joie, tristesse, pleurs. Il y a la fatigue du corps. On ne dort pas beaucoup et dès que quelque chose nous touche, on devient un peu plus émotif. Ce n'est absolument pas une partie de plaisir, il y a vraiment des moments difficiles.


Sur le plateau, on semble assez bluffé par votre niveau ... Au départ, les chefs ne pensaient pas que j'étais amateur. Ils ont eu des doutes et ont enquêté un peu pour vérifier que je l'étais bien !


Qu'est-ce qui vous plaît tant dans la cuisine ?
Il n'y a pas de limite à la créativité. C'est de l'art, au même titre que la peinture. On arrive à transmettre sa personnalité, ses sentiments et plein d'autres choses dans l'assiette...


Quels sont vos produits préférés ?
Les produits de la mer, car c'est avec eux qu'on peut faire le plus de choses. On est plus créatif avec du poisson qu'avec de la viande, même si j'aime la viande. C'est un produit noble et j'aime les plats qui ont de la fraîcheur. Mais le poisson est aussi plus difficile à cuisiner, car il demande une cuisson maîtrisée. Là, on n'est pas dans l'approximatif. J'aime tout ce qui est produits asiatiques, produits du monde mélangés à la cuisine française.


Un truc pour cuisiner le poisson ?
Il demande une cuisson douce et lente. Par exemple vous pouvez cuire le cabillaud à 70° pendant trente minutes. Il aura l'aspect du cru, mais il sera cuit. Ce que l'on recherche, c'est qu'il fonde en bouche...


Et la pâtisserie ?
Avant de rentrer à Masterchef, j'étais une chèvre en pâtisserie ! C'était ma lacune. À part la mousse au chocolat. J'ai pris mes bouquins là-bas et j'ai appris tout seul.


Vous avez une sacrée collection de livres de cuisine ...
Oui, dont celui de Frédéric Anton. J'aime sa cuisine, à la fois simple et compliquée, avec de la recherche. Elle met en valeur des produits simples tout en travaillant le côté visuel. Tous mes livres sont des grands chefs, Bocuse, Robuchon, Thierry Marx, Guy Martin... Votre grand-mère était chef de cuisine... Oui et elle était très forte pour les sauces. Dans la famille on disait qu'elle aurait été capable de nous faire avaler un morceau de viande avariée grâce à sa sauce !


Y a-t-il un plat que vous ratez ?
Les macarons ! C'est ma bête noire ! Peut-être à cause du four. Du coup, j'achète ceux d'Eric (Glucksman, candidat l'an dernier à Masterchef ndlr).

Ils ne sont pas bons, ils sont exceptionnels !


Vous avez quitté votre emploi chez Véolia. Que faites-vous actuellement ?
Je n'avais plus le goût de reprendre ce que je faisais. En ce moment, je me repose du tournage. Je viens de rentrer d'une formation dans un restaurant étoilé en Belgique. Et l'émission déclenche des choses. J'ai reçu des propositions à Dunkerque, des gens qui ont envie de changer de concept. On verra dans les mois à venir. L'idée, c'est de montrer que sans diplôme, on peut y arriver. Et vous allez entendre parler de moi...


nordlittoral.fr

Closer

tele 7 jours

Dans le cadre de la Foire européenne, la Chambre de Commerce et d’industrie du Bas-Rhin parraine, chaque jour, un créateur d’entreprise. Hier, c’était Nicolas Rieffel.
Nicolas Rieffel, de Niedernai, avait été le premier Alsacien à participer à la précédente édition de l’émission Masterchef sur TF1. Il a terminé 21 e… « sur 18 000 », précise ce jeune Strasbourgeois de 32 ans qui veut croire que (the) « Life is a game ». Référence, assure-t-il, à Mère Teresa qui disait : « La vie est un jeu, alors joue-le ! »

C’est du moins le nom que ce jeune homme aux activités multiples – il anime aussi l’émission « Grain de sel » sur Alsace 20 – a donné à sa société et a choisi pour sa marque de vêtements destinés aux métiers de la bouche. « Des vêtements fabriqués en Europe », précise-t-il, en indiquant que les textiles viennent de Grande-Bretagne et du Portugal où il fait assembler les pantalons. Mais les vestes pour femmes sont assemblées et brodées en Alsace. Et ses tabliers noirs, coupés dans du tissu déperlant, avec des slogans ou des citations, pourraient intéresser les particuliers. « Je n’arrive pas à suivre », glisse-t-il, en reconnaissant que son nouveau site internet est en attente…

Sollicité par la CCI comme créateur d’entreprise, il a invité deux concurrentes de la saison actuelle de Masterchef, s’excusant de l’absence d’Élisabeth Biscarrat, lauréate de 2011, qui suit les cours de l’École Lenôtre à Paris. Pour l’heure, les deux concurrentes alsaciennes (lire L’Alsace du 29 août), Christelle Richert, de Jebsheim, et Joëlle Umbdenstock-Jessel, de Colmar, toutes deux des passionnées de cuisine, sont moins connues. Alors que l’émission continuera jusqu’en novembre, le tournage est terminé depuis mai. Elles connaissent toutes deux leur classement, mais ont évidemment une obligation de réserve…

Tandis que Christelle s’affaire, avec sérieux, devant le public, plutôt surpris d’assister à une démonstration culinaire dans le hall des « institutionnels », Joëlle, 27 ans, répond aux questions des habitués de l’émission. « On devient hyperréactif et créatif. On prend aussi confiance en soi », témoigne-t-elle. L’avenir dira si cette expérience leur permettra de changer de vie. Life is a game.


L'Alsace.fr

Joellllllllllllleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

placzek75 a écrit:

Joellllllllllllleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

J'ignorais qu'elle et Christelle étaient à la Foire Européenne et dire que j'y étais hier (à moi même)

Parce que créativité, qualité et culinarité sont dans les gênes même du concept de restauration Our, son fondateur a eu l’idée de donner la parole à un cuisinier amateur, Sébastien Wlodyka pour revisiter le kebab. Pas si amateur que ça d’ailleurs au regard de ses performances lors de Masterchef 2012.

Ce passionné de cuisine d’origine polonaise qui s’était inscrit à ce concours pour tenir la promesse faite à son meilleur ami emporté d’un cancer, a tout simplement revisité le sandwich de chez Our, comme l’a fait au lancement du concept original Philippe Généletti, chef étoilé. Avec l’idée non seulement de donner un accent polonais au sandwich de part sa recette, mais aussi de reverser avec Our les profits de l’opération à l’association « Médecins de l’Imaginaire » qui accompagne grâce à l’Art thérapie, les personnes touchées par le cancer.

Cette collaboration qui mêle les influences de Sébastien, le savoir-faire et les exigences de qualité et de fraîcheur sur le kebab gastronomique de Damien Schmitz, créateur de Our ont donné naissance au Polon’Our à la carte depuis le 10 septembre avec boulettes de viande sur lit de choux, cornichons Ogoki, crème de betterave et raifort. « Un challenge qui n’a pas été sans me rappeler les épreuves type boîte mystère de Masterchef », explique Sébastien qui prévoit d'ouvrir son bistrot à Grenoble l'an prochain.

Cette collaboration qui s’est montrée très créative a donné l’idée au bouillonnant Damien d’inviter régulièrement des personnalités du monde de la cuisine et de la gastronomie pour revisiter son produit.

A découvrir au 41, rue de Londres 75 008 Paris

Source : Actu Snacking

Extrait :

Citation :

En résumé, c’était une semaine tumultueuse et riche en émotions… Les félicitations obtenues la semaine précédente ont eu le malheur de me mettre une pression incroyable au cours de ces nouvelles épreuves. Les jurys annonçaient des épreuves encore plus relevées que l’an passé, et ils n’ont vraiment pas menti… mais à ce rythme, il semblerait que le pire reste à venir…
Rendez-vous Jeudi soir sur TF1 à 20h 50 pour des épreuves tout aussi inédites et relevées !

Gazette de Bordeaux :
http://www.bordeaux-gazette.com/Hasnaa-MasterChef-nous-fait-part.htm

LeParisien

Pepsy a écrit:

Hasnaa MasterChef nous fait part de ses impressions de deuxième semaine à l’atelier

l

Extrait :

Citation :

En résumé, c’était une semaine tumultueuse et riche en émotions… Les félicitations obtenues la semaine précédente ont eu le malheur de me mettre une pression incroyable au cours de ces nouvelles épreuves. Les jurys annonçaient des épreuves encore plus relevées que l’an passé, et ils n’ont vraiment pas menti… mais à ce rythme, il semblerait que le pire reste à venir…
Rendez-vous Jeudi soir sur TF1 à 20h 50 pour des épreuves tout aussi inédites et relevées !

Gazette de Bordeaux :
http://www.bordeaux-gazette.com/Hasnaa-MasterChef-nous-fait-part.htm

Bonsoir toua !

Masterchef 3 : le niveau monte
Hier soir, Thomas et Sabine ont été éliminés au terme d'une soirée pleine de hauts et surtout de bas.


Durant la quatrième émission de Masterchef 3, jeudi soir, les candidats ont souffert. Première épreuve, les boîtes mystères contiennent un micro-ondes. "Sur le coup, je croyais que c'était une télévision", a déclaré Ludovic, peu perspicace. Utiliser un micro-ondes n'est pourtant pas rare dans notre quotidien, mais les cuisiniers amateurs, eux, se sont retrouvés comme une poule face à un vélo.

Certains ont massacré des légumes, d'autres n'ont pas compris le principe. Hasnaa a même droit à un mode d'emploi par Frédéric Anton : "Le micro-ondes cuit de l'intérieur vers l'extérieur." Sans effet puisqu'elle est la première a récupérer un tablier noir après un plat de cabillaud loupé.

Frédéric Anton émoustillé

Pierre et Simon commencent à sortir du lot. Le prof de musique devient même le petit chouchou des chefs : il a appliqué les techniques apprises la semaine dernière avec Frédéric Anton. On a dit chouchou, pas flagorneur. En revanche, plusieurs montrent des signes de faiblesse.
L'épreuve de dressage des plats tant attendue s'est avérée très rapide, voire décevante. Tant pour le public que pour le jury. Comme dit Laurent, "le dressage si ça plaît pas, c'est un pâté." Seul moment drôle, Julie fait un clin d'œil à Frédéric Anton, qui, du coup, en est tout émoustillé. Mais il reprend son sérieux pour donner le tablier noir à Thomas.

L'épreuve sous pression n'a fait que confirmer l'avis des chefs. Si Hasnaa s'en sort de justesse, Thomas se rate complètement. Yves Camdeborde est sans appel : "On veut aussi du goût." Déjà pointé du doigt la semaine dernière, Thomas est le maillon faible.

Hasnaa sur la sellette

Direction Monaco pour les cuisiniers amateurs. Là, il faut adapter une entrée et un plat de Philippe Joannès. Le jury est composé uniquement de chefs ayant obtenu le Bocuse d'or. Les candidats sont divisés en deux équipes pas du tout cliché : bleu pour les garçons, rouge pour les filles. Sous le soleil et sur une terrasse face à la mer, les toqués ont choisi les bleus.

Les filles sont donc toutes habillées de noir pour reproduire l'artichaut barigoule revisité de Jean-Luc Rabanel. C'est joli, mais c'est compliqué. Surtout quand on n'a jamais touché d'artichaut. Sabine, à la ramasse, confond huile de sésame et huile d'olive. Ce qui lui vaut de quitter le concours. Tamara l'a échappé belle avec son plat qualifié "d'à peine comestible".

Le concours a gravi une marche. La pression devient de plus en plus difficile à gérer pour certains, notamment Hasnaa, Annelyse et, curieusement, Ludovic. Tandis que d'autres sortent du lot, les compères Pierre et Simon en tête. Les caractères se dévoilent et s'affirment. Hasnaa, qui a vécu une quatrième épreuve sous pression, est sur la sellette. La semaine prochaine, les candidats devront cuisiner pour mille personnes. Ça devrait chauffer sous les toques.

Métro

Closer

Un des jurés de l’émission culinaire Masterchef se fait rentrer dans le lard par les fidèles de l’émission. Aujourd’hui, Sébastien Demorand a décidé de se défendre.

« Hautain et imbu de sa personne […] mais pour qui se prend-il ? » s’interroge Katoomba sur le forum de Masterchef. Lui, c’est Sébastien Demorand, un des trois jurés de l’émission de TF1 et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est loin de faire l’unanimité.
À la différence de Frédéric Anton et d’Yves Camdeborde, Sébastien n’est pas chef mais critique culinaire, ce que semblent lui reprocher de nombreux internautes. « Quel est le métier de Sébastien Demorand ? Ben justement on se demande », se questionne @butterfly_sr sur Twitter. « Porteur d’écharpes non ? » lui répond ironiquement @stepgy.

Des reproches que Sébastien Demorand balaie d’un revers de la main. « C'est le bon vieux débat de la critique dans l'univers culturel, se défend-il dans TV Mag. J'exerce ce métier depuis de nombreuses années et j'ai toute légitimité à le faire. Je suis un amateur éclairé. Autant qu'un Philippe Manoeuvre pour la musique. Sait-il reproduire parfaitement un solo de batterie ? Seul Truffaut, à ma connaissance, est passé de l'autre côté du miroir. »

Ce que le critique estime apporter à l’émission ? Un certain recul, « fruit d'une fréquentation assidue des restaurants, d'une pratique ordinaire de la cuisine et de longues années de voyage. » Vous voila prévenus, Seb c'est bien !


Voici.fr

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Ce qui a fait la réputation de MasterChef 2012 depuis trois ans, c'est la rigueur de son jury, beaucoup plus cassant que celui de Top Chef alors que les cuistots qui se présentent face à lui ne sont que des amateurs. Pourtant, Yves Camdeborde, Sébastien Demorand et Frédéric Anton ne sont pas toujours tendres avec les candidats de MasterChef 2012. Mais sont-ils aussi méchants en vrai ? Comment les candidats ont-ils perçu leur recontre avec les trois jurés ?


Pascal, le directeur commercial nantais de 54 ans, encore en lice dans MasterChef 2012, donne son avis sur le jury, aujourd'hui, dans les colonnes de Presse Océan. Pour lui, "Yves Camdeborde est le juré le plus proche des candidats", même s'il se montre aussi sévère par moment. En ce qui concerne Frédéric Anton, Pascal a trouvé qu'il était "assez imposant et dégageait une autorité naturelle. Il est dur dans ses critiques, mais souvent juste."



Quant au critique gastronomique Sébastien Demorand, c'est sûrement le juré le plus intimidant. Le candidat de MasterChef 2012 se souvient parfaitement de leur première rencontre : "C'était lors de la toute première épreuve. On était 200 candidats dans le hangar. Il fallait préparer un bar en 1h30, c'était très stressant. Je l'ai vu retirer une arrête délicatement de sa bouche et la poser très lentement et soigneusement sur le bord de l'assiette. Sans un mot. [...] J'ai vraiment crû à cet instant que mon MasterChef était terminé."

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