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 Relooking Extrême - Loana Le Retour

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aurore
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MessageSujet: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeVen 29 Jan 2016 - 12:56

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Dernière édition par aurore le Ven 29 Jan 2016 - 13:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeVen 29 Jan 2016 - 12:58

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Loana dans une émission de relooking extrême

C’est une légende pour personne, Loana veut retrouver sa silhouette d’antan et elle est prête à tout pour y parvenir. Pour se faire, elle va participer à une émission de relooking extrême. Sous l’objectif des caméras, l’ancienne gagnante de « Loft Story » va tenter de perdre quelques kilos.
Loana a pris une résolution pour cette année 2016 : elle veut se reprendre en main. Elle a en effet annoncé qu’elle allait participer à une émission de téléréalité d’un genre particulier. « Je vous réserve quelque chose d’assez extraordinaire qui devrait passer à la télé », a sobrement expliqué la gagnante du « Loft » au micro de Star24. « Ca devrait ressembler à un relooking extrême. J’aimerais avant la fin de l’année qu’on me retrouve comme au temps du « loft ». C’est un pari un peu fou », a-t-elle poursuivi.
Pourtant, ce challenge lui tient à cœur. Déjà lors de sa participation aux Anges de la téléréalité en 2011 sur NRJ12, elle voulait maigrir et se prendre en main. Mais elle avait baissé les bras et était retombée en pleine dépression. « C’est horrible de se regarder dans la glace et de se voir dans un corps qu’on n’aime pas du tout. Ca accentue la dépression. Mais là, j’ai arrêté les médicaments et me laisse encore un an ou deux pour avoir une apparence qui me plaît. A 38 ans, ce n’est pas facile de perdre vite ! », a-t-elle souligné.
Loana a annoncé que le tournage de son émission avait déjà débuté. Pour autant, ni le producteur, ni le diffuseur du programme ne sont connus.

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MessageSujet: Re: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeLun 22 Fév 2016 - 7:45


Vidéo – On a retrouvé la vraie Loana
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MessageSujet: Re: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeLun 22 Fév 2016 - 7:51

Relooking Extrême - Loana Le Retour Loana-poisson-ouv-1

Son émou­vante inter­view confes­sion

C’est l’his­toire d’une rédemp­tion. Ou plus exac­te­ment d’une renais­sance. Après des années d’er­rance qui auraient pu lui coûter la vie, Loana en a fini avec ses démons et a repris contact avec sa fille – elle en rêvait depuis quinze ans. De la violence qui a blessé son enfance à sa nouvelle recons­truc­tion et ses projets d’émis­sion de reloo­king extrême, elle revient sur ce parcours chao­tique avec une sincé­rité désar­mante. Chez elle. Une petite maison avec jardi­net dans le XVIème arron­dis­se­ment de Paris. Le pois­son rouge Barbi­zon, cadeau d’an­ni­ver­saire, tourne dans son bocal. La yorshire Tamy, dite Toutoune ou Croquette, dort dans son panier. Violette, la maman, va et vient dans la cuisine. Loana Petruc­ciani veille sur son petit monde. Son sourire n’est jamais très loin, on comprend vite pourquoi…

Loana Petruc­ciani : Après m’être sépa­rée de mon ami, j’ai eu envie de reprendre contact avec des gens de la profes­sion et je me suis réins­tal­lée à Paris depuis le 10 janvier. J’ai plein de projets. Je crois que je m’étais mise en prére­traite trop vite ! (Elle rit).

Gala : Etes-vous sûre d’être prête ?
Loana : J’ai 38 ans aujourd’­hui et je suis plus aguer­rie et armée que quand je suis sortie du Loft, où j’en avais 23, et n’étais pas prépa­rée à ce qui allait suivre. Main­te­nant, je saurais dire « non » s’il le fallait. D’au­tant que j’ai passé 2 ans et demi à la campagne, loin de tout, pendant lesquels j’ai pu faire le point avec moi-même. C'était une vraie grosse coupure.

Gala : La célé­brité vous manquait ?
Loana : Non, car la célé­brité n’est pas un métier. Mais grâce à elle j’ai pu chan­ter, écrire un livre – avec l’aide d’un profes­sion­nel bien sûr -, faire une collec­tion de vête­ments, être anima­tri­ce… J’ai adoré faire tout ça.

Gala : Qui étiez-vous avant Loft Story ?
Loana : Une fille un peu paumée qui, par la force des choses, s’est retrou­vée danseuse dans des boites de nuit. Au début, je ne faisais ça que les week-ends, pour mon argent de poche. Et puis, quand maman est partie et que je me suis retrou­vée avec un loyer à payer, j’ai dû le faire à temps plein. Je n’en ai pas honte car je n’ai jamais fait de strip-tease ou ce genre de choses.

Gala : Regret­tez-vous l'épisode dans la piscine avec Jean-Edouard ?
Loana : J’étais amou­reuse, je ne pensais plus aux camé­ras. On tenait un jour­nal intime dans le Loft et je me souviens avoir écrit que si Jean-Edouard sortait du jeu, je parti­rais aussi. J’avais fait cette émis­sion pour trou­ver l’amour. Evidem­ment, si c'était à refaire, je me compor­te­rais diffé­rem­ment, d’au­tant qu’il a fallu assu­mer le scan­dale derrière. Quand je suis sorti, on disait : « Regarde, c’est la blonde de la piscine ! ».

Gala : Ces dernières années, vous avez plusieurs fois attenté à vos jours, 9 fois préci­sé­ment. Quand avez-vous commencé à perdre pieds ?
Loana : Pas tout de suite. Au début ça allait, même si j’avais l’im­pres­sion de trom­per les gens quand je signais des auto­graphes, car fina­le­ment j’étais connue pour rien. J’ai vacillé 5 ou 6 ans plus tard. Mes nerfs ont lâché et, au même moment, j’ai fait une mauvaise rencontre. Je suis tombée amou­reuse d’un homme qui me disait ce que j’avais envie d’en­tendre, qui m’a escroquée finan­ciè­re­ment. Et senti­men­ta­le­ment. Il se préten­dait agent immo­bi­lier. En réalité, c’était un des plus gros dealers de cocaïne de Paris. Je traver­sais une période de doute, il me rassu­rait, me disait que j’étais la femme la plus merveilleuse. C’était un grand mani­pu­la­teur, quelqu’un de plus fort que moi. Il m’a dit que si je l’ai­mais vrai­ment, je devais prendre de la coke avec lui, pour vrai­ment parta­ger ce qu’il ressen­tait. Alors je l’ai fait. De plus en plus souvent. Je suis vite deve­nue accro. Parfois il m’en­fer­mait dans l’ap­par­te­ment –on habi­tait au sixième étage- plusieurs jours et me prenait mon portable. Il créait le manque. Ça a duré quelques mois comme ça. Je suis deve­nue folle. Il vidait mes comptes bancaires aussi. Et puis un jour, il est devenu violent, il m’a regardé droit dans les yeux en disant : « Ce soir, tu vas y passer! ». Par miracle, j’ai réussi à lui échap­per, je me suis réfu­giée chez une voisine, une vieille dame, et là, j’ai prévenu la police. Ils l’ont retrouvé. Et j’ai porté plainte contre lui.

Gala : Porter plainte quand on subit des violences est essen­tiel pour sa propre recons­truc­tion. Pour­tant, vous ne l’avez jamais fait contre votre père qui lui aussi vous frap­pait. Pourquoi ?
Loana : Quand c’est arrivé, j’étais mineure. Après, j’ai voulu tirer un trait. Oublier. Je ne voulais pas remuer le passé. C’était une ques­tion de survie. La violence n’est pas excu­sable et je ne pardon­ne­rai jamais à mon père, pour­tant, j’ai­me­rais le revoir aujourd’­hui, savoir comment il va. Qu’il m’ex­plique aussi pourquoi il a fait ça, alors que les 9 premières années de ma vie il a été un papa super.

Gala : Il n'a pas toujours été violent ?
Loana : Il l’est devenu quand il s’est retrouvé au chômage. Le manque d’argent peut rendre fou. Ça a commencé d’abord avec ma mère. Je me rappelle de maman en sang quand j’étais petite. Quand il lui a demandé de partir, il lui a dit que si jamais elle cher­chait à m’ap­pro­cher, il me tuerait. Je n’ai pas vu ma maman pendant des mois. Au début, mon père allait bien. Et puis il a commencé à dire que je ressem­blais de plus en plus à ma mère et ç’a été une avalanche. C’était comme s’il déchar­geait sa colère sur moi.

Gala : Quand on a connu la violence enfant, il arrive que l’on cherche à repro­duire le schéma dans sa vie d’adul­te…
Loana : C’est juste­ment ce que je ne voudrais pas. J’ai­me­rais tomber sur quelqu’un de tendre, qui m’aime pour ce que je suis.

Gala : Et vous, est-ce que vous vous aimez pour ce que vous êtes ?
Loana : Je ne me suis jamais trou­vée ni très belle, ni très intel­li­gente. Quand je fais quelque chose, je me dis toujours que je ne vais pas y arri­ver. Je n’ai pas une grande confiance en moi en fait.

Gala : Avez-vous déjà ressenti des pulsions de violence ?
Loana : Une fois. Vers l’âge de 15, 16 ans. Mon père vivait avec une autre femme. Il nous battait chacune à notre tour. Après le diner, on faisait un roule­ment : une allait se coucher tandis que l’autre restait pour se prendre les coups. C’était devenu telle­ment habi­tuel que l’on n’avait même pas à l’idée de préve­nir la police, c’était une sorte de norma­lité. Un soir, elle hurlait telle­ment fort, je n’ai pas supporté, je suis sorti de ma chambre et j’ai frappé mon père. Puis je me suis enfuie sur mon scoo­ter, et ne l’ai plus jamais revu.

Gala : Avez-vous retourné contre vous-même cette violence dans laquelle vous avez grandi ?
Loana : Je me suis un peu tailladé les bras, c’est vrai, mais quand j’ai fait ça, c’était surtout pour que la douleur physique me fasse oublier celle que je ressen­tais à l’in­té­rieur.

Gala : Le 24 décembre 2013, vous avez encore une fois attenté à vos jours. Etait-ce un appel au secours ou une véri­table envie d’en finir ?
Loana : Je voulais mourir. J’avais l’im­pres­sion d’avoir tout perdu : je réali­sais que ma fille avait grandi sans moi, mon histoire d’amour battait de l’aile, j’avais plus d’ap­par­te­ment… Je ne servais plus à rien, je n’avais plus envie d’être là.

Gala : Pouvons-nous parler de votre fille juste­ment. Dans un petit album de photos qui ne vous quitte jamais, vous conser­vez les clichés d’une écho­gra­phie et d’elle tout bébé dans vos bras. Avez-vous des nouvelles de Mindy ?
Loana : Je ne l’ai pas revue, mais j’ai pu prendre contact avec elle grâce aux réseaux sociaux, car je n’ai ni son adresse, ni son télé­phone, ni rien, la justice m’ayant inter­dit de l’ap­pro­cher à moins de cinq cent mètres jusqu’à sa majo­rité. Comme elle vient d’avoir 18 ans, je me suis lancée. Je lui ai écrit un mot non pas plein de tris­tesse, mais d’es­poir, pour lui dire que si ce jour était très impor­tant pour elle, il l’était tout autant pour moi car je me souve­nais de chaque minute, de chaque seconde de sa nais­sance. Je voulais qu’elle sache que si je n’avais pas été présente par déci­sion de justice, elle n’avait jamais quitté ni mon cœur, ni mes pensées. Que je n’at­ten­dais rien d’elle, mais que je serai toujours là, si elle avait besoin.

Gala : Vous a-t-elle répondu ?
Loana : Oui, et son message est le plus cadeau de ma vie. Pour le moment, on n’a eu que cet échange, mais c'est ce que j’at­tends depuis quinze ans, alors je nous laisse le temps…

Gala : Pourquoi n'avez-vous pas élevé votre fille ?
Loana : Parce que j’étais toute seule, que je travaillais la nuit dans les clubs pour gagner ma vie. Je l’ai confiée car je n’y arri­vais pas. Chaque année, la juge me glis­sait un papier à signer pour l’adop­tion en me disant que je ne serai jamais capable de lui donner un avenir correct. Mais je n’ai jamais cédé car j’ai toujours voulu reprendre ma fille. Après le Loft, quand j’ai essayé de la récu­pé­rer, on m’a dit que la célé­brité risque­rait de nuire à son équi­libre psycho­lo­gique. Après le tribu­nal d’Aix, je suis allée à Lyon, à Grasse, mais ça n’a servi à rien. Et puis je me suis dit que c’était peut-être mieux pour elle. Son père l’avait récu­pé­rée et on m’avait dit qu’elle était heureuse et épanouie auprès de lui.

Gala : Est-ce une enfant de l’amour ?
Loana : Oh oui ! Je ne sais pas pour lui, mais moi, j’étais très amou­reuse.

Gala : Mindy, c’est le chaî­non manquant à votre nouveau bonheur ?
Loana : La retrou­ver est ce qui me manque le plus, oui ! Mais elle a toujours été avec moi. Quoi que j’aie pu faire, je n’ai jamais cessé d’ai­mer mon enfant.

Gala : Dans une inter­view, vous aviez évoqué la possi­bi­lité de faire un bébé toute seule ?
Loana : Peut-être qu’un nouvel enfant m’au­rait stabi­li­sée. Aurait un peu apaisé cette bles­sure de ne pas avoir vu gran­dir ma fille. Main­te­nant je suis plus réflé­chie. Je me laisse encore quelques années.

Gala : Vous avez vous-même un côté très enfan­tin…
Loana : Je n’ai peut-être pas la matu­rité d’une femme de 38 ans, alors que, avec tout ce que j’ai traversé, je devrais avoir celle d’une femme de 70 ! Je ne vois pas le mal, jamais, on me dit souvent que je suis trop gentille. C’est comme si je ne mesu­rais pas la dure réalité de la vie, alors que je l’ai souvent prise de plein fouet. Je cherche telle­ment à me voiler la face, à cacher le réel que, d’un coup, quand la mémoire me revient, je n’ar­rive pas à le suppor­ter. Et c’est là que je veux mourir. Mais je suis plus apai­sée désor­mais.

Gala : Vous en avez fini avec les addic­tions ?
Loana : Oui. L’an passé, je buvais une bouteille de whisky par jour. Sans m’en rendre compte, j’étais deve­nue alcoo­lique. Un matin, je me suis vue avec mon verre à la main, mes 30 kilos de plus et je me suis demandé si c’était vrai­ment comme ça que je voulais finir ma vie. Alors j’ai commencé par l’al­cool. Je suis partie un mois en cure de désin­toxi­ca­tion. J’ai arrêté comme ça.

Gala : C’est la bois­son qui vous avait fait gros­sir ainsi ?
Loana : Cette prise de poids était surtout la consé­quence de la consom­ma­tion énorme d’an­xio­ly­tiques que l’on m’avait pres­crits. J’en prenais 3 le matin, 4 à midi, 6 le soir. J'ai pris quasi 30 kilos en 6 mois, alors que je ne mangeais presque pas. Plus je gros­sis­sais, plus je me sentais mal dans ma peau, plus je prenais de médi­ca­ments. Un enfer. Je n’ar­ri­vais plus à réflé­chir. Mais après avoir arrêté l’al­cool, je suis allée au bout de la pres­crip­tion médi­cale, et je n’ai pas renou­velé l’or­don­nance. J’ai eu des trem­ble­ments, des sueurs, je suis passée par 15 jours diffi­ciles, mais aujourd’­hui je ne prends plus que 3 Donor­myl (un somni­fère en vente libre, ndlr) le soir. Je ne bois plus, je ne prends plus de médi­ca­ments, j’ai déjà réussi à perdre 30 kilos, j’ai repris contact avec ma fille, j’ai des projets… Je ne peux pas rêver mieux !

Gala : Parmi vos projets, il y a notam­ment une émis­sion de reloo­king extrême. Etes-vous prête à aller jusqu’à la chirur­gie esthé­tique ?
Loana : Ce qui m’in­té­resse, c’est avant tout d’être enca­drée par un coach en matière de sport et de nutri­tion. Après, s’il y a besoin de chirur­gie esthé­tique par rapport au relâ­che­ment de la peau par exemple, pourquoi pas. Mais j’ai­me­rais surtout que ce programme soit aussi éduca­tif pour des gens qui ont ma corpu­lence.

Gala : Vous ne pouvez pas essayer d’être heureuse avec vos rondeurs ? Pensez-vous que faire un 36 ou un 38 est la clef du bonheur ?
Loana : Non. Mais j’ai du mal à me regar­der dans la glace aujourd’­hui, et sans vouloir retrou­ver ma silhouette d’avant, car ça, je sais que c’est impos­sible, j’ai juste envie de me sentir bien dans ma peau. C’est le pari que je veux rele­ver.

Gala : Et vous avez besoin de camé­ras pour cela?
Loana : Je viens de passer deux ans, tranquille, loin d’elles. Et je peux rester des mois, voire des années sans, mais là, j’ai envie que les gens aient de moi une autre image que celles d’une pauvre fille entu­bée sur un bran­card. Je veux montrer celle que je suis : quelqu'un qui a envie de se battre, bien décidé à croquer la vie à pleines dents.

Gala : Vous habi­tez une jolie petite maison, à Paris, alors qu’on vous disait ruinée. Qu’en est-il ?
Loana : J’ai même de quoi vivre sans travailler. Je sais ce que c’est de ne pas avoir de quoi manger à sa faim, et ça, plus jamais. Mon faux agent immo­bi­lier m’a certes vidé des comptes bancaires, mais j’ai toujours gardé de l'argent de côté et j'ai vendu mon appar­te­ment de 80m2, à Paris. Même dans mes pires moments, je me suis dit qu’il fallait faire atten­tion, que l’argent se perdait trop faci­le­ment et se gagnait trop diffi­ci­le­ment.

Gala : Que vous manque-t-il aujourd’­hui ?
Loana : Rien. Vrai­ment. C’est ce que je disais à maman : j’ar­rive enfin à un stade de ma vie où je n’ai plus aucune addic­tion, j’ai eu des nouvelles de ma fille, j’ai de super projets profes­sion­nels… Il y a deux ans, j’avais envie que tout s’ar­rête. Cette année, j’ai envie que tout commence. Les tenta­tives de suicide, la drogue, l'alcool, les médi­ca­ments, c’est derrière moi. Je n’ai même pas besoin d’en faire la promesse, c’est comme ça. Je vais bien. Je me suis assez punie je crois, main­te­nant, j’ai envie d’être heureuse.

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MessageSujet: Re: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeSam 5 Mar 2016 - 8:01

Les premiers résul­tats du chan­ge­ment de Loana

Relooking Extrême - Loana Le Retour Loana_1

Relooking Extrême - Loana Le Retour Loana_2

Le même coiffeur que Valérie Trierweiler

Avant même de la découvrir dans cette émission de relooking, Loana a déjà débuté sa transformation physique.

Et pour son nouveau look, elle s'est entourée du coiffeur Guillaume Sergenti, "un pro de la coupe et de la couleur pour dames"

Il s'occupe également de Valérie Trierweiler, ex-première dame à la suite de sa relation avec le président de la République, François Hollande.


En effet, ce dernier a travaillé avec Valérie Trierweiler sur le shooting pour un magazine japonais en septembre dernier et plus récemment pour la Une de VSD.

Sur sa page officielle Instagram, le coiffeur a dévoilé "les premiers résul­tats du chan­ge­ment" opérés sur Loana, qui selon nos confrères de Gala "a déjà perdu 30 kilos"

gala
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MessageSujet: Re: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeLun 7 Mar 2016 - 11:28

Relooking Extrême - Loana Le Retour Capture-plein-ecran-05032016-120016

Retour à la télé­vi­sion belge
        
Après avoir parti­cipé à Loft Story et à la saison 2 des Anges de la télé-réalité, Loana appa­raî­tra prochai­ne­ment dans une émis­sion de reloo­king en Belgique, où on la verra « pleu­rer, trans­pi­rer et rire » comme elle l’a confié au micro de Star 24, en janvier dernier. Elle ajou­tait : « J’ai­me­rais avant la fin de l’an­née qu’on me retrouve comme au temps du Loft. C’est un pari un peu fou ».

Dans un entre­tien accordé en septembre 2015 à Metro­news, la jeune femme reve­nait d'ailleurs sur sa prise de poids : « J'ai pris 60 kilos. C'est horrible de se regar­der dans la glace et de se voir dans un corps qu'on n'aime pas du tout. Ça accen­tue la dépres­sion ». Mais avant la diffu­sion de ce programme franco-belge, l’ex-bimbo est atten­due dans la saison 8 dans Anges de la télé-réalité, diffu­sée tous les jours sur NRJ12. Une belle revanche !

vsd
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MessageSujet: Re: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeLun 7 Mar 2016 - 11:39

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Loana relookée et coiffée par Guillaume Sergenti
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MessageSujet: Re: Relooking Extrême - Loana Le Retour   Relooking Extrême - Loana Le Retour Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 2:16

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