ADP Saison 11 - Portraits des candidats - 16 janvier 2016

Karine Le Marchand ‏@KarineLMOff  

Attention, chez Marianne, gros problème de pet (de vache!) #ADP

Citation :

@Abracadamia
C'est Caroline Fourest qui cherche un mec? #ADP #Apeupresque

elle n'aime pô les yeux foncés !

Citation :

@ondemoul
Quand Marianne lance une nouvelle mode de sac à main. #adp

Citation :

@_5thB
Dans l'amour est dans le pré ça rêve tous de l'amour avec un grand A, ça finit tjr en plan de 2semaines avec un gros tas. #ADP

"Je te souhaite de rencontrer un homme qui te montre que la vie elle est jolie"

C'est fini
 Bonne nuit les BofZagriculteurs , la suite dans quelques mois (pour les survivants)

Après avoir signé sa plus faible performance pour une diffusion de portraits en prime time, L’amour est dans le pré est reparti à la conquête du public ce lundi 18 janvier.

En effet, la découverte des visages des sept derniers agriculteurs de la saison a permis à M6 de fidéliser 3.76 millions de téléspectateurs, soit 15.1% du public présent devant son petit écran entre 21h00 et 22h50, dont 20.1% des femmes de moins de 50 ans.

L’amour est dans le pré gagne ainsi près de 700 000 amateurs par rapport à la semaine précédente et voit sa part d’audience progresser de près de 3 points.

Cet afflux de téléspectateurs a bénéficié à la seconde partie de soirée. Karine Le Marchand est partie à la rencontre des agriculteurs de l’année précédente dans un Que sont-ils devenus ? suivi par 1.66 million de personnes. De quoi attirer 17.9% du public présent devant son poste de télévision de 22h50 à 1 heure du matin.

LE PLUS. L'émission de dating "L'Amour est dans le pré" présentait hier la seconde partie de ses agriculteurs. Au programme, la découverte de profils surprenants : les secrets des candidats semblent d'ailleurs primer sur leur personnalité, estime Agnès Frémiot. Notre chroniqueuse demande à voir la suite mais reste sur ses gardes pour cette 11e saison, qui commence doucement selon elle.


M6 diffusait hier la seconde partie des portraits des quatorze agriculteurs de la saison 11 de "L’Amour est dans le pré". Au programme, des candidats plus matures que les années précédentes et beaucoup d’émotion, peut-être trop d’ailleurs.

L'amitié filles-garçons ? Pas pour cette saison

Monique, 54 ans, sera la première éleveuse d’escargots de l’émission, ce qui a permis à Karine Le Marchand, émerveillée, d’apprendre des tas de choses croustillantes sur le mode de reproduction des petites bêtes. Son activité laisse énormément de temps libre à l’éleveuse, qui peut donc se partager entre la ville et son petit village de quinze habitants.

La candidate pourrait devenir, avec son côté légèrement décalé, l’une des mascottes de la saison.

Benoît, céréalier de trente ans, est le benjamin de cette édition et aussi l’un de ceux qui pourrait recevoir le plus de lettres. Mais comme chaque candidat semble avoir un secret cette saison, le jeune homme a perdu 35 kg en quelques années, il ne faut donc pas se fier aux apparences.

Karine Le Marchand l’a titillé sur sa confiance en lui et ses relations avec les filles, soulignant qu’elle ne voulait plus d’une saison basée sur l’amitié filles et garçons comme la précédente.

Un portrait surprenant, à la "Next"

Paulo, 60 ans, fait certainement partie des candidats les plus attachants de la saison. Cet éleveur de chevaux a perdu sa femme et sa fille dans un accident de voiture, il y a une vingtaine d’années. L’animatrice a été très émue par le sexagénaire, qui donne énormément de son temps pour les autres.

Guillaume est éleveur de vaches et croque-mort. Il vit avec sa mère et sa grand-mère, dont il n’hésitera pas de se séparer s’il tombe sur l’âme sœur. Il souhaite rencontrer une femme plus petite que lui car il n’est pas bien grand, qui porte des lunettes et qui soit rousse, parce que "ça le fait kiffer".

Son portrait fait un peu penser à "Next", l’émission de dating pour jeunes adultes, mais ce sont véritablement les exigences de l’agriculteur. J’imagine que ses prétendantes sauront s’en souvenir lors du speed-dating.

Didier, céréalier picard de 52 ans, aspire, lui, à rencontrer une femme qui soit aussi bien que son chien et ce n’est pas moi qui le dit, mais Karine Le Marchand, décidément en grande forme hier. Un peu vieille France, l’agriculteur aimerait penser moins au boulot à l’avenir.

Marianne ne recevra pas beaucoup de courrier

Jean-Paul élève des vaches, qu’il nettoie au karcher et au liquide vaisselle. Il est également très attaché à son fils, dont la simple évocation hier le faisait sangloter.

Très, très sensible, le candidat a lourdement souligné qu’il s’attachait facilement et je m’inquiète déjà pour son avenir dans l’émission. J’espère que la production saura lui mettre plein de garde-fous pour éviter les catastrophes.

Marianne a clôturé le bal. La dernière femme de la saison ne semble pas emballée par sa présence dans le programme. D’ailleurs, Karine Le Marchand a presque passé plus de temps avec ses parents qu’avec elle.

Elle aime Dolph Lungren, et recherche un homme aux yeux clairs. Mais elle ne croit plus beaucoup en l’amour. Même Karine Le Marchand, pourtant d’une patience d’ange, a semblé un peu agacée par le pessimisme et le manque d’enthousiasme de la jeune femme, qui ne devrait pas recevoir, sauf énorme surprise, des tonnes de courriers.

Une stratégie qui va devoir faire ses preuves

Bon, bon, j’attends décidément de voir ces candidats à l’œuvre car comme ça, à première vue, je ne les trouve pas très engageants.

La saison 10 semble déjà avoir déçu l’animatrice elle-même. Karine Le Marchand a en effet beaucoup évoqué une saison où l’amitié a primé sur l’amour.

Je ne suis pas sûre que la saison 11 soit celle des grandes passions non plus, mais je peux me tromper. En misant sur ces candidats plus âgés et très précis dans leurs exigences, tant sur le plan physique que sur le nombre d’enfants, le programme pense peut-être tenir la recette pour former de nombreux couples. À voir.

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