Episode 4 - Jeudi 21 novembre - 20h50 - D8

... direction le theatre

ils sont encore 100 bientot, ils ne seront plus que 50

.... avec leurs animaux de compagnie  

Pfffffffffffffffffffffff remplisssage  

1 ere epreuve

des lignes de 8 , une chanson a cappella

Enfin sur scène  

(Maurane chante ce soir à l'espace culturel de Vendenheim en Alsace)

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et v'lan la PUB  

Reprise

Claudia 16 ans commence la tournée ....

Rien de transcendant : des numéros et c'est tout  

C'est très iech !!!!

Dernier venu dans le jury de Nouvelle Star, Olivier Bas a eu la lourde tâche de succéder à Philippe Manœuvre, le charismatique critique musical qui a préféré quitter l’émission lors de son passage de M6 vers D8. Arrivé lors de la saison 9, cet « accompagnateur de talent », comme il se décrit, a pris goût à l’émission musicale. Pour Toutelatele, il revient sur cette aventure et sur sa vision de l’industrie musicale, sans langue de bois.

Marion Olité : Quel a été votre ressenti sur cette saison 10 de Nouvelle Star ?

Olivier Bas : Le niveau est très élevé. On a entendu des voix différentes de l’année précédente. C’est plus rock et rauque. À la sortie du théâtre, je vois le dessin que ça peut faire, mais je ne sais pas qui pourrait gagner. On le savait peut-être un tout petit plus l’année dernière, même si on ne vote plus à partir du deuxième prime. Le public a un truc plus affectif que technique dans le choix des candidats.

N’êtes-vous pas frustré quand le public prend la main sur les votes ?

Non, je pense que ça fait partie du jeu. Sur les dix qui seront aux primes, sept m’ont envoyé leur compo et je peux vous assurer que certains vont émerger, c’est évident. Pour eux, c’est un accélérateur, et tant mieux que le public prenne la main. J’aurai beaucoup de mal à assumer cette responsabilité jusqu’au bout. Sur les quatre derniers primes de la saison 9, j’étais bien content que ce ne soit plus à nous de voter ! Le public a bien choisi d’ailleurs. Il y a des émotions et de la magie qui passent par la voix, et qui sont universellement compréhensibles. Évidemment, si le public avait éliminé Sophie Tith au premier prime, j’aurais sans doute été énervé !

Avez-vous dégagé des tendances cette année durant l’étape des castings ?

On a eu beaucoup entendu Asaf Avidan et Matthieu Chédid. D’ailleurs, je trouve ça hyper difficile à chanter ! Vous avez toutes les chances de tomber dans la parodie, ou de vous planter. Cette année encore, il y a beaucoup de diversité. Les candidats sont de plus en plus malins. On en a un qui est venu avec un look de « métalleux » très identifié, du style à se retrouver au premier rang du Hellfest. Il chante du Deep Purple, puis « Coup de soleil » de Richard Cocciante ! Il a raison. S’il n’était que dans un registre, pourquoi on irait le prendre sur un prime où il risque de chanter du Michel Fugain et du Big Bazar ? C’est le principe de l’émission, et il voulait nous prouver qu’il était prêt à tout chanter.

« Je suis un garçon sensible »


Une ville est-elle sortie du lot cette année pendant les castings ?

Lyon ! On a passé deux jours au top. On était dans des conditions épouvantables, avec une grosse chaleur et vue sur une piscine ! On aurait du les détester (rires), mais non, c’était très chouette. En terme de variété de voix et de proposition artistique, on a été servi.

Toutelatélé

Suite :

Quel moment de Nouvelle Star affectionnez-vous le plus ?

C’est tellement différent. Dans les castings, on est dans un moment d’humour, avec une ambiance un peu potache. Il n’y a pas un poids incommensurable sur nos épaules. C’est comme au poker, on paie pour les voir à l’épreuve du théâtre. Et là, c’est assez rude. L’étau se resserre. Une dramaturgie se met en place. Je suis un garçon sensible, c’est une étape difficile. Les primes, c’est du plaisir. Il y a 1000 personnes avec vous, vous êtes dans une euphorie générale... C’est super beau, et complètement différent.

Pensez-vous formez un jury complémentaire avec que Maurane, Sinclair et André Manoukian ?

Oui. Pour ma part, j’ai ma vision de producteur et journaliste. J’essaie donc de voir s’ils ont vraiment cette envie au fond du bide. On cherche des gens qui veulent être artistes, pas qui veulent passer à la télévision. Ça fait une grosse différence.

Avez-vous eu la moindre hésitation à participer à l’aventure Nouvelle Star ?

Je viens d’un milieu assez pointu en terme de musique, et aucun de mes amis ne m’a dissuadé d’aller à Nouvelle Star. Au contraire. Je suis une sorte d’accompagnateur de talents. J’ai par exemple bossé avec Liane Foly qui n’était rien à l’époque. Je n’ai pas fait Nouvelle Star pour ça, mais quand des candidats comme Florian m’envoient leur titre, j’ai forcément envie de l’aider. C’était mon chouchou en plus. J’ai été le voir en concert, et je vais lui présenter des gens. Je ne vais pas gagner du fric sur son dos ! J’ai aussi revu Julie, Timothée, Léa, Adélaïde... Si Nouvelle Star doit s’arrêter le 27 février au soir, ça n’a pas beaucoup d’intérêt pour moi. Ils m’appelaient tous « Papa », alors il faut que je sois digne de leur confiance. Ça m’avait beaucoup touché qu’ils m’appellent comme ça. C’est tellement intense.

« Les candidats sont de plus en plus malins »


Après CD d’Aujourd’hui sur France 2, émission musicale arrêtée en juin 2013, avez-vous d’autres projets à la télé ?

J’en ai, mais pour le moment, il n’y a pas d’acquéreur ! On cherche un peu la musique à la télévision. Après, je vais reprendre une analyse que faisait Yves Bigot. Un match à 1-0 à la 87e minute, on ne sait pas ce qui va se passer. Une fiction comme Mentalist a des rebondissements dans tous les sens. Mais une chanson, une fois entendue ou vue, vous savez ce que c’est. Et puis avant, pour voir les Rolling Stones, il fallait traverser la Manche. Maintenant, il suffit d’aller sur YouTube. Je pense qu’il faut essayer de créer un peu de suspens et de désir.

Que pensez-vous de la crise que traverse l’industrie musicale depuis quelques années ?

Le prix de l’album est une fausse excuse. Un livre, ça coûte super cher. Deux pintes de bière achetées lors d’un match du PSG, c’est 16€, c’est-à-dire le prix d’un album ! Et là, personne ne dit que c’est cher ! Je pense que c’est une question d’envie. Quand j’étais gamin, avoir une pochette de disque sous le bras en allant au lycée, ça signifiait quelque chose. On a perdu ça. Je ne suis pas passéiste. On peut aussi acheter un morceau sur internet à 0,99€. C’est moins cher qu’un café. À un moment donné, les gens doivent comprendre que les artistes ont aussi un loyer à payer. Ils ne se rendent pas compte. Pour eux, la musique doit être gratuite. Mais si personne ne paie rien, on se demande qui remplira Bercy après !

Toutelatélé

Coucou me voilou !  
Ai pas pû venir plus tôt passke y(avait Toundra installé (enfin affalé de tout son long) sur moi et comme mon ordi n'est pas réparé (le couvercle est presque entièrement cassé, je ne peux m'installer n'importe comment, le couvercle doit être calé !  

Pour Pepsy : va voir Hist Abrac ... surprise !

Ils chantent bien dans l'ensemble nan ?

Jo et son peigne dans les tifs !!!   faut oser !!!

allo ?  

Bon ce fût bref (entre nous) car j'ai regardé ...
A la prochaine on the Ice !  

Qui va rester ? Qui va partir ? Réponse jeudi prochain !